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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Les choses visible...
20/09/2005 11:50

Les choses visibles
sont éphèmères
Les invisibles
sont éternelles

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L' ANGE
20/09/2005 11:28

Dieu se lève, et soudain sa voix terrible appelle De ses ordres secrets un ministre fidèle, Un de ces esprits purs qui sont chargés par lui De servir aux humains de conseil et d'appui, De lui porter leur voeux, sur leurs ailes de flamme, De veiller sur leur vie, et de garder leur âme; Tout mortel a le sien : cet ange protecteur, Cet invisible ami veille autour de son coeur L'inspire, le conduit, le relève s'il tombe, Le reçoit au berceau, l'accompagne à la tombe Et, portant dans les cieux son âme entre ses mains, La présente en tremblant au juge des humains. C'est ainsi qu'entre l'homme, et Jéhova lui-même Entre le pur néant et la grandeur supprême, D'êtres inaperçus une chaîne sans fin Réunit l'homme au séraphin. C'est ainsi que, peuplant l'étendue infinie, Dieu répandit partout l'esprit, l'âme et la vie.

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LA PETITE MARCHANDE DE FLEURS
20/09/2005 11:23
Le soleil froid donnait un ton rose au grésil, Et le ciel de novembre avait des airs d'avril, Nous voulions profiter de la belle gelée. Moi chaudement vêtu et toi emmitouflée Sous le manteau, sous la voilette et sous les gants, Nous franchissions, parmi les couples élégants, La porte de la blanche et joyeuse avenue Quand soudainjusqu'à nous une enfant presque nue Et livide, tenant des fleurettes en main Accourut, se frayant à la hâte un chemin Entre les beaux habits et les riches toilettes, Nous offrir un bouquet de violettes. Elle avait deviné que nous étions heureux Sans doute, et s'était dit : ils seront généreux. Elle nous proposa ses fleurs d'une voix douce En souriant avec ce sourire qui tousse, Et c'était monstrueux, cette enfant de sept ans Qui mourrait de l'hiver en offrant le printemps. Ses pauvres petits doigts étaient pleins d'engelures. Moi je sentais le fin parfum de tes fourrures, Je voyais ton cou rose et blanc sous le fanchon Et je touchais ta main chaude dans ton manchon. Nous fîmes notre offrande, amie, et nous passâmes; Mais la gaîté s'était envolée; et nos âmes Gardèrent jusqu'au soir un souvenir amer. Mignonne, nous ferons l'aumône cet hiver.
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LES REVES
20/09/2005 11:14
Le visage de ceux qu'on aime pas encore Apparaît quelquefois aux fenêtres des rêves, Et va s'illuminant sur de pâles décors Dans un argentement de lune qui se lève.
Il flotte du divin aux grâces de leurs corps, Leur regard est intense et leur bouche attentive; Il semble qu'ils aient vu les jardins de la mort Et que plus rien en eux de réel ne survive.
La furtive douceur de leur avènement Enjôle nos désirs à leurs vouloirs propices, Nous pressentons en eux d'impérieux amants Venus pour nous afin que le sort s'accomplisse;
Ils ont des gestes, doux et silencieux, Notre vie uniment vers leur attente afflue : Il semble que les corps s'unissent par les yeux Et que les âmes sont des pages qu'on a lues.
Le mystère s'exalte aux sourdines des voix, A l'énigme des yeux, au trouble du sourire, A la grande pitié qui nous vient quelquefois De leur regard, qui s'imprécise et se retire...
Ce sont des frôlements dont on ne peut guérir, Où l'on se sent le coeur trop las pour se défendre Où l'âme est triste ainsi qu'au moment de mourir; Ce sont des unions lamentables et tendres ...
Et ceux-là resteront, quand le rêve aura fui, Mystérieusement les élus du mensonge, Ceux à qui nous aurons, dans le secret des nuits Offerts nos lèvres d'ombre, ouvert nos bras de songe.
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